Les systèmes de dénomination des dieux grecs et sémitiques sont si complexes que les notions de « théonyme » et d’« épithète » ne permettent pas d’appréhender tous les cas attestés dans la documentation. En se focalisant sur les dieux célestes, dans une perspective comparatiste, on étudie des séquences combinant divers attributs onomastiques révélateurs des liens reliant les dieux entre eux. Comment, par ailleurs, envisager la relation entre les noms et les images, elles aussi dotées d’attributs ?